jeudi, 28 août 2008
Démêler le vrai du faux
Voilà déjà plusieurs semaines que je reste bloquée sur une idée de col de fourrure, matérialisée à merveille par le Comptoir des Cotonniers, mais elle arrive de plus loin encore, cette envie-là. Au moins de la Fashion week de la fin de l'hiver, voire avant.
Peut-on porter de la vraie fourrure ? Faut-il opter pour du faux ? Le débat n'a pas fini de faire rage.
Pour ma part, je ferai les deux. Peut-être est-ce me donner bonne conscience à bon compte, mais pour le vrai, ce sera vintage. A bon compte assurément, la fourrure vintage se négocie pour trois fois rien, ce qui coûte le plus cher dans l'histoire, c'est le nettoyage.
Mes cols de fourrure de l'hiver devraient être au nombre de trois. Ils vont tous me demander un peu de bidouillage, peut-être bien à base de fleurette liberty, peut-être bien à base d'autre chose. Une doublure rose shocking à la Schiaparelli est aussi envisagée.
Le petit col en mouton doré n'a plus de doublure du tout.
Le grand col dont je ne connais pas l'origine est pourvu d'une doublure, mais elle est affreuse.
Le long et large ruban de poil de pétrole, que je compte enrouler en double, n'a pas de doublure non plus et n'aura ni liberty ni rose schocking : je ne sais pas encore comment l'assaisonner.
En quelque sorte, y'a plus qu'à.
17:30 Publié dans Des fois je bidouille | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : mode, comptoir des cotonniers, col, fourrure | del.icio.us | Facebook
dimanche, 10 août 2008
Camarguaises-motardes de comptoir... sans le Comptoir
Les photos circulent déjà pas mal sur la blogo, mais je suis tout de même allée récupérer les catalogues de la nouvelle collection du Comptoir des Cotonniers.
Un jour trop tôt, j'y suis allée. On m'a gentiment expliqué jeudi qu'on n'avait pas le droit de me les donner avant vendredi.
Les fameuses petites bottes mi-camarguaises-mi-motardes n'y figurent pas, dans ce catalogue. Mais on commence à les voir dans la presse, pourtant.
Par exemple ici, dans Glamour de septembre, en version cuir vernis gris. Elles figurent aussi, en nubuck, sur le site internet de la marque.
Et elles sont copiées. Très très copiées. Très fidèlement. Où sont donc les originales, sur mon montage photo ? Elles sont en gris foncé.
Les autres ? Ce sont des Bata. A 79 €. Pas si donné, finalement, pour du Bata. Mais après tout, les fausses Marant de Zara sont bien à 100 €...
Donc, les Bata existent en beige, en chocolat et en taupe.
Le taupe que j'ai vu gris, puis beige, puis de nouveau gris. Et qui n'est en fait ni vraiment l'un ni vraiment l'autre. Et pas marron non plus. Taupe, quoi.
Je ne risque donc pas le double-emploi. Pour fêter ça, je complète ma série It's too stupid, I only have two feet . Avec mes camarguaises sable d'il y a trois ans (Jonak).
Et avec mes nouvelles genre Absolut du CdC. Taupe-là !
Le ELLE vintage ? Il sera là demain lundi, mais en fin de journée. Rythme de mois d'août oblige...
Pour les cadeaux par moi-même faits (sans doute du genre bijou), faites donc pas les timides, Mariga(z) s'est désistée !
17:23 Publié dans Fashionneries | Lien permanent | Commentaires (21) | Tags : mode, bottes, camarguaises, motardes, comptoir des cotonniers, bata | del.icio.us | Facebook